Avocats pour la garde des enfants à Tarbes
Agissant en leur qualité d'avocats en droit de la famille, à Tarbes et ses environs (Pau, Bagnères-de-Bigorre, Aureilhan...), vos avocats vous proposent leurs services sur les affaires concernant les enfants après un divorce, notamment tout ce qui est relatif à l’autorité parentale et la définition de leur résidence.
Résidence principale ou garde alternée ?
Les procédures de divorce et de séparation sont toujours plus nombreuses. De multiples questions apparaissent alors concernant le devenir des enfants dans le foyer. En fonction de la situation et du contexte familial, deux options s'offrent
ainsi aux parents concernant la résidence des enfants : la garde alternée ou la résidence principale pour l'un des parents. Comptez sur vos avocats à Tarbes pour vous aiguiller dans vos décisions et favoriser
au maximum l'intérêt de vos progénitures.
Bien que souvent privilégiée, a garde alternée n'est pas adaptée à tous les enfants. Le contexte dans lequel elle est établie peut-être sujette à un conflit ou non, sans oublier que le juge des enfants pose en plus certaines conditions. Ce dernier est d'ailleurs le sens à même de véritablement convenir d'une organisation qui sécurisera l'avenir et la santé de vos enfants. Contactez le cabinet Chambeyron Buendia pour constituer un dossier percutant relatif à la demande de résidence des enfants ou pour vous défendre si le juge refuse les modalités préalablement convenues entre vous et votre ex-conjoint.
Défendre votre droit de visite et d’hébergement
Vos avocats à Tarbes sont en mesure de vous apporter leur aide et de vous conseiller sur l’obtention d’un droit de visite et d’hébergement pour le parent ne bénéficiant pas de la résidence principale. Les visites sont alors organisées sur une période déterminée, le plus souvent un week-end sur deux et sur la moitié de la durée des vacances.
Il est également possible de mettre en place un droit de visite et d’hébergement sur des jours de semaine (ex : du mercredi au vendredi). Conformément au droit de la famille et au droit des enfants, il revient en effet au juge de définir ces dispositions selon ce qu’il constate comme juste pour l’enfant, en dépit de l’existence de l’autorité parentale.
Consultez également :