Avocats en pension alimentaire à Tarbes
Lors d’une séparation, la fixation du montant de la pension alimentaire, tout comme la garde des enfants, est une obligation qui entraîne souvent un contentieux entre les parents. Vos avocats en droit de la famille à Tarbes vous apportent leur expertise dans la détermination de cette pension en fonction du revenu et du patrimoine.
La pension alimentaire : un sujet parfois épineux
En général, lors d’une séparation, la fixation d'une pension alimentaire est au coeur de toutes les discussions entre les parents. Elle est définie dans le droit de la famille comme étant la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants (alimentation, scolarité, santé, activités extrascolaires...).
Des situations rares impliquent aux parents de prendre en charge certains postes de dépenses autres que  la pension alimentaire. Elles découlent d’une décision émanant d’un juge. À titre d’exemple, ce dernier peut décréter  que le paiement des frais de scolarité soit à partager par moitié entre les parents ou totalement à la charge du parent débiteur de la pension alimentaire.
Souvent source de contentieux - à l’instar de la garde des enfants - la pension alimentaire est un sujet que vos avocats à Tarbes maitrisent parfaitement. Si vous rencontrez des problèmes sur ce point ou que vous constatez un abus sur les charges, le cabinet Chambeyron Buendia est à votre service.
Le calcul de la pension alimentaire
Selon le droit de la famille, le montant de la pension alimentaire est estimé par rapport aux revenus et au patrimoine de chacun des parents en cours de procédure de séparation, ainsi qu’en fonction des besoins des enfants. Un barème est fixé par le ministère de la Justice. Vos avocats en pension alimentaire à Tarbes s’en inspirent pour établir la valeur de la vôtre. Par ailleurs, dans le cadre d’une garde des enfants en résidence alternée, le montant de la pension alimentaire est réduit. Toutefois, la mise en place de cette garde alternée ne suppose pas une suppression de cette obligation, car seul prime l’intérêt supérieur des enfants.
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